Dans une déclaration percutante à l’ouverture du Sommet sur le climat COP28, Simon Stiell, Secrétaire exécutif pour le changement climatique de l’ONU, a lancé un appel urgent à l’action, avertissant que le refus de mettre un terme à l’ère des combustibles fossiles pourrait sceller le destin de l’humanité.
« Nous sommes à un point de non-retour. Si nous ne déclarons pas la fin de l’ère des combustibles fossiles, nous risquons d’entrer dans une phase terminale, une spirale irréversible qui pourrait conduire à l’extinction de notre existence sur cette planète », a déclaré Stiell lors de la cérémonie d’ouverture du sommet.
Les enjeux sont plus élevés que jamais, alors que la crise climatique s’intensifie. Stiell a souligné que le moment d’agir est maintenant, et que la transition vers des sources d’énergie durables est impérative pour garantir un avenir viable.
Le sommet COP28 se présente comme une arène cruciale pour les leaders mondiaux, les scientifiques, les activistes et les entreprises afin de discuter des mesures concrètes à prendre. Le monde attend des engagements audacieux et des plans d’action concrets pour lutter contre le changement climatique.
Alors que la communauté internationale se réunit pour relever ce défi colossal, l’humanité se retrouve à un tournant critique. La fin des combustibles fossiles devient non seulement une nécessité environnementale, mais une condition sine qua non pour notre survie sur cette planète. La question qui se pose est la suivante : allons-nous saisir cette opportunité cruciale, ou allons-nous laisser glisser notre monde vers la phase terminale que redoute l’ONU ? La réponse pourrait déterminer le cours de l’histoire humaine.
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